vendredi 23 mai 2008

Partie 2 : on fête le retour de faby. Et partie 3 : on fête son départ.



PS pour faby : t'inquiète pas le breton la cave est pleine, je pense qui a se qui faut.

dimanche 18 mai 2008

17- 18 mai 2008 : Valdrome #1

Après une après-midi de pluie, voici que pour l'apéro. La pluie s'arrête et le ciel se décage jusqu'au ciel bleu avant une nuit de pleine lune.


Merci pour ce pélerinage !

Rigolos de rouler sous la pluie, ca accroche autant que sur le sec ! Bien vu l'initiative de pouvoir participer en tant que commissaire, et de m'avoir permit diminuer mes frais, pour passer un wk formidable.

Merci à tous d'avoir participer, j'ai encore adoré. Gros bravo pour la sécu cette année, j'en ai vu beacoup qui ont aimé.

Le seul hic, que je souhaite dire : c'est le réveil tardif des riders le dimanche, pour rouler... J'aurai aimer pouvoir descendre plutôt, alors je vous préviens que la prochaine fois, je m'occuperai d'un réveil doucereux... ou pas !


Le campement un peu boueux.


Le spot.


Un paysage de fou en haut de station.


Atelier montage luge à l'abrit dans le camion. Trop heureux.


Kikirasta en pleine comtemplation.

Nouveau baquet de faby avec montage Bigzig 75mm en 83a, que du bonheur, et ca va je suis toujours vivant; Et je dirai même que j'aprécie bien mes départs en glisse que j'ai pu avoir.


Mon arme fatal, ma combi pluie. (25e chez norauto)

Atelier réchauffage de chausson de pattin... Non mais sans déconner, alors que c'était l'apéro ! MDR.

vendredi 16 mai 2008

Boulet du jour !


Et voilà comment à fini mon plat à four, celui tout fissurer... Mais bon, je suis vert !
Note pour plus tard : Ne rien laisser sur une machine à laver en route !

mardi 13 mai 2008

Mariage de Tiphaine ma cousine et Franck.

Week end 8 au 12 mai 2008.

Jeudi 8 mai :
Je me profite de cette journée pour finir le ménage. Les parents arrivent avec le train de 18h30. Malheureusement je prévoyais de finir le ménage plus tôt. Je retrouve donc les parents à la part dieu à 19h, puis on part voir Lyon depuis la Basilique de Fourrière. Après la descente, on mange dans un bouchon histoire d’être traditionnel.

Vendredi 9 mai :
Je profite de la présence du père pour aller m’acheter un vrai lit. Au retour je mets les parents à contribution pour le montage. Biensûr le père forcera un peu sur une vis et elle cassera. Pourtant je lui disais bien d’arrêter… bref content, obliger de redémontrer maintenant.
Après on ira visiter le musée contemporain de Lyon avec un super expo sur Keith Haring. Elle est vraiment très intéressante, à voir. Car la simplicité des œuvres expriment bien des messages plus ou violent, et plus ou politique. Cette simplicité de dessiner sur n’importe quel objet m’impressionne bien, sur une voiture ou sur des fresques de plusieurs mètres de long. Sans oublier les nombreux objets qui a sortie, histoire de faire partager son art à la population. Ou bien le principe de dessiner dans le métro pour toucher le plus grand nombre (ce qu’il ne lui a pas apporté que de la reconnaissance surtout de la part de la police). Ma cousine sera présente à notre retour à l’appart.
Mon pére, ma mère et Muriel de dos.


Samedi 10 mai 2008 :

Alors pour commencer peut-être un peu d’histoire… du coté de ma grand-mère paternel, on a 7 enfants. Mon père est le cinquième enfant et quatrième garçon. Et Tiphaine, ma cousine est la 1ère fille de Gabie et de mon oncle Jean Loup (3e enfants de la grand-mère). Ils ont aussi eu leur seconde et dernière fille : Gaétane.

Départ pour le mariage de la cousine, décollage en Kangoo. Arrivée à Allex, à 20km au sud de Valence, on retrouve la famille dans les préparatifs de dernières minutes. La pyramide se termine aussi. Ne trouvant pas trop notre place dans toute cette agitation, le père, la cousine et moi, on finira vite à l’apéro dans le bar à coté. On y restera même manger. Puis après un petit digestif, ma mère prends le volant est nous amènes à quelques km pour déguster de la clairette de Die. Une coupe de clairette, puis une de crémant, et je repars avec un carton de clairette. Ca va mes parents eux prendront 3 cartons, je sais qui de venir.


De retour à Allex, on s’habille et on se prépare pour la cérémonie. Et voila les mariées devant la mairie. Et durant la cérémonie, dans un magique moment de silence, trop fort la grand-mère demande à haute voie : «mais qu’est qui font là ? Ah ils signent leurs arrêt de mort ! Trop mort de rire !


Bon passons la cérémonie de l’église, déjà premièrement : c’est pas bien mon truc d’être à l’église, de deux : je me retrouve un peu au second rang histoire de pas laisser les premiers rang seul. L’oppositions entre la canicule de la mairie et la froideur de l’église, ou entre les cries de gamins et le faible son du micros du prêtres ne m’ont pas fait apprécier la cérémonie ; désolée pour les mariées, mais je m’endors un peu.
Surtout que je me vois de moins en moins enthousiasmer, pour faire un mariage à l’église (si cela devait m’arriver).
Par contre la sortie d’Eglise reste comme même un moment vraiment sympathique.
Fin de cérémonie sous une pluie de confettis.



Après les cérémonies, on reprend les voitures, pour aller prendre le verre de l’amitié. Pendant ce temps, moi et Muriel irons à l’hôtel pour récupérer les chefs de la chambre. Le temps d’avaler une bière, de prendre la clef que nous retournons au pot. Les bouteille sont déjà vide, le temps d’avalée un verre que nous reprenons la route direction le château pour le repas de mariages. Après un 5e tour de village et quelques km, on arrive dans une jolie villa. Après un ou plusieurs kirs, ma foi, fort bon, deux chanson chantée par la choral improvisées. Puis viens le fameux lancé de bouquet dont, dans une formidable action, en poussant, écrasant les diverses rivales, Marie-Annick (ma tante, petite dernière de la grand-mère paternel) se saisie du bouquet. Un futur mariage à entrevoir sur la région Parisienne. lol
Je me retrouve à la table avec Muriel et cousins de Tiphaine du coté de sa mère.
La table est bien agréable, et je fais connaissance des cousins éloigner avec leurs femmes, à défaut de célibataireesss. Le repas se déroule sans accros, sauf le trou normand, qui à l’aire de tout, sauf d’un trou… 1/10 de cl d’armagnac pour une grosse boulle de glace, décevant… Dessert classique chou nougatine trop bon, puis ce sera la fontaine au champagne, et ensuite dancing jusqu’à la fin pour moi.


Trop bon moment, j’ai pu profiter de passer un peu de temps en famille. J’aurai même le droit de redécouvrir un copain de 2e et 1er , Remi Brixon. J’ai encore un souvenir impérissable de 1er ou je le vois sur l’estrade de la salle commune de l’internat. Seul devant 200 collégiens, qui se foutent bien savoir ce qu’il se passe, ou des explications qu’il peut donner. Explications sur la manifestation de l’après-midi, on l’on était déjà révolter des futurs mesures gouvernementales sur la dégraissons du mammouth pour Mr Allègre. Bref notre 68 en 98… pis après, on as vite oublié grâce à la victoire françaises de la coupe du monde et les vacances.


Retour à l’hôtel, brin de discussion avec les cousines et la sœur, je m’endormirai comme un bébé.


Retour le dimanche dans un hôtel pour le repas, la piscine n’est pas remplie et de tout façon, elle est trop froide pour moi. Après midi à jouer à des parties de palet breton sur le pelouse.
On décolle sur les coups de 18h avec les parents, la sœur et Marie-Annick. Muriel récupère la place de la sœur, avec Gaétane pour un aller-retour dans le sud, récupérer ses chiens.


Lundi matin, les parents ont récupéré limite leur train à part dieu. Le métro B est en panne, ils ont marché de Saxe-Gambetta jusqu'à la gare.
Retour des cousines, et petite sieste pour elle, trop fatigué par une nuit de route. Promenade des ses chiens dans la résidence, ou j’aurai le droit de me faire traiter de tous les noms par une voisines au rez-de-chaussée. La pauvre qui vit derrière sa grille plus un filler, bref impossible de la voir. Et c’est certainement mieux pour elle qu’elle reste chez elle.
Donc départ de la sœur avec Gaétane pour leur retour à Evreux, puis Caen pour la sœur.
L’après midi, on regardera une partie de Titanic pour Marie-Annick. Puis petit tour à Villeurbanne, on ira chez une tante à Muriel. Le temps de prendre l’apéro, 2 bouteille de champagne après, une explication sur la boulle lyonnaise, par la tante championne d’Europe…
Cf site…
On dépose ma tante à la gare, et on va au resto.
Au resto, rebelote, la pizza éponge à peine tout l’alcool que j’ai pu ingurgiter.
De retour à l’appart je retrouve Lolo pour lui donner la clé du Kangoo et la lui prêter. C’est la dernière fois que je le verrai lyonnais celui là… petite bière pour fêter ça !



Bref ce week-end prolongée fut fort sympathique et je serai à peine fatigué le mardi on allant au taf. D’ailleurs je dois récupérer mon fourgon le midi, et Muriel me déposera au garage, après avoir dormis la matinée.

lundi 5 mai 2008

Retour au taf…

Chercher l’intrus qui sent bon… et qui a mis un peu de gaieté dans le BE. A noter que j’étais le seul de la boite, à en avoir rapporté.

dimanche 4 mai 2008

Fête du travail : 1er au 4 mai 2008

Récit d’un long week-end riche de moment très agréable.

Mercredi soir, je pars direct après le travail direction la Suisse. Super après deux km, il se met à pleuvoir… Arrivée à Gimel, il pleut toujours. Je suis bien mort, puisque je l’ai joué sans prendre l’autoroute et parce que c’est certainement un de mes derniers voyages en Kangoo. Je me fait une bonne partie de la conduite : non pas à la mode Grand Tourismo, mais en mode rallye. Puis après la frontière suisse je craque en passant par l’autoroute. J’arrive comme même pour prends le petit apéro de fin de soirée avec Karine et Jo.

Jeudi 1er mai

Histoire de Fête du travail, celle ci a bien mérité une journée de répit.


Jo admiratif. Eh, on a dis qu'on ne bosse pas !

Petite journée tranquille après un réveil à 12h, c’est cool les jours fériée et je suis content de faire une grâce mat, enfin un peu de repos. Après au jardin je reste tranquille dans le hamac, ensuite 1er barbecue de l’année au jardin, ça gland beaucoup. Au moindre coup vent, on sent le muguet, parfaitement fleurie à ce jour. Avant de décoller au concert, on se retrouve à l’appart pour prendre l’apéro avec Mathieu et yann.
Arrivée sur le site du concert, on va au parking officiel du festival, un champ où est entreposer des montagnes de billes de bois, un vrai labyrinthe. Je rigole à penser que des festivaliers doivent y être toujours perdu, tellement c’est énorme…

Bon on retrouve les Freds & co à l’entée.
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Et c’est partie pour une soirée de folie.

En 1er partie, Da Silva : Bien sympa, bonne mise en soif pour la suite. D’ailleurs les copains apportent tournée, sur tournée.

En 2e partie, La Rue Ketanoue : le concert qu’on attendait et on l’a eu, trop bien. La musique est entraînante, et tout le monde se lâche. Ca danse dans tous les sens. On as le droit dans un premier temps à de nouvelle chanson, et puis seconde partie avec les air connus. « Y’a des cigales dans la fourmilière… et nous pourrions rien y faire.. », ou encore « C'est ma fautes à moi » , «Des mots», bref je chante encore ces chansons 3 semaines après.

En 3e et dernière partie, Cali : C’est énorme la patates qu’il dégage sur scène. Il saute, il cours. Un fou sur scène. Il fera un semblant de tentative de slam. Et au milieu du concert lors de la pause des ces musiciens, Cali nous sort un petit discours moraliste sur le faite qu’il a changé et que les slams, pour lui, c’est fini. (slams :vous savez quand le chanteur saute sur la foule et qu’elle le porte). La scène est génial : Cali seul sur scène, avec une ambiance tamiser et derrière des projections d’images de ces nombreux slams). Donc depuis qu’il s’est pété le genou et bien c’est du passé. Et je comprends aisément, hein Faby.
Il reprends ses chansons avec autant d’enthousiasme, jusqu’au moment ou il descends dans le public. Il se promène micro en main tout en chantant, il monte même sur la plateforme du preneur de son, se permet de s’amuser avec la caméra devant filmer son concert,. Puis il craque pour revenir sur scène. Obliger de faire un slam… distance de la scène 50m, coté public on est 1 à 2 personnes au mètre carré, on est loin d’être collé les un aux autres. Mais Cali y va. Et on y va tous pour le porter,… Super retour sur scène !
Le concert se finira avec 5 min d’applaudissements, bravo Cali t’est vraiment énorme sur scène.

J’ai vraiment passé un super moment, je sors du concert ravi, merci.
Le temps de dire au revoir aux Freds & co, de se donner rendez vous le lendemain pour aller les aider à bricoler leur nouvelle appart. Et on se retrouve à Gimel pour passer la nuit.

Vendredi :
Quand déco s’invitent chez vous !
Arrivée à 15h, après quelques courses à la coop et un petit salut à Jo en plein taf au rayon fleur ; personne : alors apéro… Vlà les bosseurs !

Etape 1 : poncage de facade.

Etape 2 : Peinture.


Bon après le taf, regain de motive pour défricher la terrain de pétanque. On se fait une partie, 3 contre 3 avec 2 boules chacun. Nous aurons le droit a une super partie de boule, dont je me rappelle plus le vainqueur. Pendant ce temps, le barbecue se prépare avec une excellente salade de pâtes. Le repas sera bien arrosé comme il se doit, et Karine nous ramènera encore entier.


Samedi :

On se motive pour une petite balade et pour aller manger à la crêperie. Et là je me retrouve dans « la taverne du malin Suisse »…
Déjà qu’il nous restait quelques grammes d’alcool dans le sang, de ces 2 derniers soirs. Alors nous, tout content de se boire un petit verre de blanc pour l’apéro . Nous nous retrouvons effectivement avec un verre, et en plus avec un pichet. C’est déjà tout vu pour moi, je ne plus conduire. Je dormirai donc une nuit de plus en suisse pour en profiter, merci Karine pour l’embuscade. Pour digérer cet apéro, une délicieuse galette avec des pavés de st jacques et non des noix lol, trop bonne. Puis biensûr viens le café/digo ou digo/café… je ne sais plus trop… c’est peut-être du à cette demi bouteille de mirabelle glacée qu’on finira avec Yann et Mathieu.


Tiens je ne souvenez plus de toutes ces bouteilles ... Enfin Gaby sur ma gauche, et un copain client avec sa fille.


On se retrouve à discuter tout en profitant du soleil. Balade digestive sur le port, re-bain soleil au port et apéro, la farniente au soleil nous dessèche vite. Je tenterai même de me faire embarquer sur un bateau, mais faut de vent : personne ne sort du port. Donc retour au comptoir !


Déjà 18h, c’est qu’ils y en a bossent parmi nous. Nous on se retrouve vite au comptoir à picoler. Nous aurons le droit à un succulent plat de poison. Terrible délicieux, rien que de repenser au fondant dans la bouche, j’en salive…mais j’en salive…
On retrouve Jo de passage. Puis on se rentrera tôt histoire de ne pas finir sous le comptoir devant les clients.


Gaby disans au revoir à Mathieu et Yann.


Rien que la carte mérite qu'on s'arrête pour un repas !


Dimanche :

Journée tranquille, dès le réveil Yann et Mathieu partiront direction la Bretagne. Ils se sont un peu speedés, histoire qu’ils n’arrivent pas trop tard pour l’apéro. Et Math, qui devait commencer un taf le lendemain ! Je rigole rien qu’à penser à la tête qu’il devait avoir le matin. On retournera au jardin pour que je puisse ramener un brin de muguet et deux trois graine poru me faire un jardin.